(Sur le parvis de l’église, pendant les discours des officiels).

Hier matin, environ 800 personnes avaient tenu à être présentes en l’église Saint-Jean-Baptiste de Banyuls-sur-Mer pour rendre un dernier hommage à celui qui fut maire de Banyuls-sur-Mer pendant trois mandats, conseiller général de la Côte Vermeille pendant deux mandats , vice-président en charge du Tourisme sous la présidence de René MARQUèS (1987-1998), conseiller municipal dans l’Opposition, etc.-etc. En additionnant tous ces mandats d’élu local, Jean RèDE aura marqué la vie politique de son village, de son canton, du département, pendant plus de quatre décennies.

Jean RèDE, officier dans l’Ordre de la Légion d’Honneur, était également très actif dans le syndicalisme professionnel hôtelier – d’où la présence hier matin de nombreux hôteliers-restaurateurs parmi ses proches – ainsi que dans les associations d’anciens combattants et de médaillés militaires.

Dès lors, on comprend mieux la présence à ses obsèques de très nombreuses personnalités : à commencer par celui qui lui a succédé à l’Hôtel-de-Ville en 2014 et qui fut également son 1er adjoint, l’hôtelier-vigneron Jean-Michel SOLé (LR/ Les Républicains), et le 1er vice-président du Département ancien maire de Collioure, Michel MOLY (PS), qui le remplaça dans le fauteuil de conseiller général de la Côte Vermeille en 1998. Tous les deux d’ailleurs, Jean-Michel SOLé et Michel MOLY, prononceront les deux discours d’adieu sur le parvis de l’église Saint-Jean-Baptiste, suivi des Médaillés militaires.

Etaient présents : Hermeline MALHERBE (PS), présidente du Département, ex-sénatrice, Jean-Marc PUJOL (LR), maire de Perpignan, président de la Métropole Perpignan-Méditerranée, Pierre AYLAGAS (PS), président de la communauté de communes Albères-Côte Vermeille-Illibéris, ancien député, ex-maire d’Argelès-sur-Mer, Pierre ESTèVE (PS), ancien député, ancien vice-président du Conseil Général des P-O, ancien maire de Saint-Paul-de-Fenouillet, Bernard FOURCADE, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie des Pyrénées-Orientales (CCI’66), Marina PARRA-JOLY (PS), conseillère départementale du canton Côte Vermeille, Jean-Claude PORTELLA (Divers Gauche), maire de Cerbère, le docteur Jacques MANYA (Divers Droite), maire de Collioure, Antoine PARRA (PS), maire d’Argelès-sur-Mer, Jacqueline IRLèS (LR), maire de Villeneuve-de-la-Raho, vice-présidente de la Métropole Perpignan Méditerranée, ex-députée, Me Thierry DEL POSO (LR), maire de Saint-Cyprien, président de la communauté de communes Sud-Roussillon, conseiller départemental, et son épouse Carole DEL POSO, suppléante du sénateur Jean SOL (LR), Francis MANENT (PS), maire de Saint-André, Raymond LOPEZ (Divers Droite), maire de Saint-Génis-des-Fontaines, Gilles FOXONET (LR), maire de Baixas, vice-président de la Métropole Perpignan Méditerranée, Alain FERRAND (LR), maire de Le Barcarès, vice-président de la Métropole Perpignan-Méditerranée, Marcel DESCOSSY (LR), maire de Palau-del-Vidre, Roger RULL (PS), ancien maire de Banyuls-sur-Mer, le vigneron bagéen Christian GALY qui fut candidat avec Jean RèDE lors d’une élection législative, André MARIOTTI, cofondateur de la Fête des Vendanges de Banyuls-sur-Mer… l’ancien sous-préfet de l’arrondissement de Céret, Lucien GRANDJEAN.

Nombre de ses anciens collègues du Conseil Général étaient également présents, parmi eux : le Gaulliste Alain MARTI, ex adjoint au maire de Perpignan, très ému, Jean RIGUAL (RPR d’alors), l’hôtelier-restaurateur Bernard RéMéDI (Divers Droite), qui fut aussi maire de la commune Prats-de-Mollo-la-Preste en Vallespir de juin 1995 à mars 2014).

On retiendra encore l’abbé Martin GABET, remarquable, qui a servi une messe d’exception, en y mêlant de précieuses et savoureuses anecdotes partagées avec le défunt alors qu’il était maire de Banyuls-sur-Mer, et qui contribueront à n’en pas douter d’alimenter la légende qui auréole le personnage et la personnalité de Jean RèDE.

Ci-dessous : le texte du discours prononcé par le maire de Banyuls-sur-Mer, Jean-Michel SOLé, à son prédécesseur Jean RèDE :

Hommage a jean REDE vendredi 2 mars

(Photos archives – ci-dessus et ci-dessous@représentation du 7 juillet 2017)

Dix jeunes barcarésiens et cinq de leurs aînés, donneront de nouveau, ce vendredi 9 mars 2018 le meilleur d’eux-mêmes, sur la scène de l’Auditorium de la Maison des Associations : ces jeunes collégiens et lycéens viennent de recevoir, à Paris, le deuxième prix du concours national de l’appel à projets jeunes de la MSA Grand Sud, pour ce travail remarquable
Vous pourrez les retrouver dans ce huis clos poignant, mettant en scène des enfants pris malgré eux dans la tourmente de la seconde guerre mondiale.
Fils ou filles de résistants, enfants juifs, tous sauvés des griffes de la gestapo… ils sont cachés dans une cave, en attente de leur devenir, en plein cœur de la tragédie qui se joue au-dessus de leurs têtes : arrestations, exécutions, déportation…Le spectateur rapidement conquis par ces personnages touchants, est tenu en haleine jusqu’au dénouement final, surprenant et lourd d’enseignement…

Vue au travers de mots d’enfants, et de projections d’images de l’INA, cette période tragique de notre histoire est évoquée avec beaucoup d’humanité et de poésie. Ce sera donc une nouvelle occasion d’apprécier cette belle réalisation, fruit d’une implication régulière (plus d’un an de répétitions), et du coaching bienveillant de l’auteur et metteur en scène, Jean-Claude Martinez, auprès « d’enfants emplis de talent, de respect et de volonté », selon ses propres mots. La troupe vient d’ailleurs de récolter les premiers lauriers, en décrochant le premier prix coup de cœur Facebook, le 2ème prix du concours départemental et le 2ème prix du concours national d’Appel à Projet jeunes de la MSA. Une belle récompense au regard de tout le travail fourni jusqu’ici.

Depuis le 7 juillet 2017, date de leur première représentation, ils ont grandi, pris de l’assurance et gagné en qualité d’interprétation, ce qui laisse admiratif quand on sait qu’il y a si peu de temps, ils n’avaient jamais fait de théâtre. Les recettes du 9 mars prochain, collectées par la Junior Association du Barcarès, aideront à financer un voyage en Pologne en avril prochain, pour clore ce travail de mémoire. A noter que ce voyage a été organisé par le président national de Zakhor Pour La Mémoire, Philippe Benguigui, qui avait chaleureusement félicité les jeunes acteurs en juillet dernier, en leur promettant que « l’aventure ne s’arrêterait pas là ». Le maire du Barcarès, Alain Ferrand, à l’origine de ce projet, soutenu par son conseil municipal, a proposé de financer le voyage des jeunes acteurs pour les remercier de cette belle implication citoyenne. Ces derniers ont d’ailleurs décidé de participer au financement, en organisant une grande rifle le samedi 24 mars prochain, à 15h au Mas de l’Ille. Même s’ils espèrent désormais jouer leur pièce ailleurs qu’au Barcarès, ces jeunes poursuivent leur apprentissage théâtral autour de cours d’improvisation, se projetant déjà dans leur futur spectacle, écrit « sur mesure » par Jean-Claude Martinez, où joie et bonne humeur seront cette fois-ci au rendez-vous.

Les Maux de la Mémoire, vendredi 9 mars, à 20h30, Auditorium de la Maison des Associations du Barcarès, (sortie 11 de la voie rapide, Impasse du Solarium. Parking gratuit). Les places étant limitées, il est préférable de réserver auprès du PIJ. 04 68 86 11 64, poste 116, ou auprès de Nicolas au 06 79 15 01 40. Entrée 2 euros.

Ce samedi 24 mars 2018 à 15h au Mas de l’Ille…

Lors de la représentation des Maux de la Mémoire le 7 juillet 2017, rejouée le 9 mars dernier, Philippe BENGUIGUI, président national de Zakhor Pour La mémoire très touché par la qualité du travail réalisé, proposait de poursuivre cette aventure par un voyage pédagogique à Auschwitz pour mieux appréhender cette triste réalité. La municipalité du Barcarès, à l’initiative de son maire Alain FERRAND, a proposé d’offrir ce voyage aux jeunes barcarésiens qui se sont impliqués pour la Mémoire.

Afin de couvrir les frais annexes, et de participer au financement, les jeunes barcarésiens organisent une grande rifle ce samedi 24 mars, au Mas de l’Ille : les bénéfices seront consacrés au co-financement de leur voyage qui marque l’aboutissement de leur travail sur le Devoir de Mémoire. Une belle implication depuis près de 2 ans sur un sujet difficile pour de jeunes adolescents. Alors venez les soutenir en réservant votre après-midi ! Les résidents barcarésiens ne pouvant se déplacer seuls (mobilité réduite) pourront emprunter le bus municipal pour ce déplacement en réservant comme d’ordinaire auprès de l’accueil de la mairie avant ce vendredi 15h.

Parmi les nombreux lots obtenus par les jeunes auprès des partenaires de l’opération :

des bons d’achat, des forfaits de ski et de bike park aux Angles, des initiations au téléski nautique, un stage UCPA de 5 jours en pension complète (planche à voile, catamaran ou optimiste pour les plus jeunes), un baptème de plongée avec le club Le Poulpe, des abonnements à Freeness, un code offert par Claire Auto Ecole, des soins esthétiques, des lots informatiques, un vélo de ville offert par Super U, des locations de vélo électrique, des livres, et de nombreux produits gourmands (jambons, vin, champagne, repas au restaurant, paniers garnis…) et de nombreux autres lots offerts par les commerçants et professionnels. Une tombola permettra également de gagner un super lot composé d’un téléviseur plat de 80 cm, une bouteille de champagne et un forfait ski pour les Angles.

A 15h, au Barcarès, Mas de l’Ille, face à la Sortie 12 de la voie rapide, parking gratuit.

La troupe des Maux de la Mémoire dernièrement primée au concours départemental et national de la MSA dans le cadre de l’appel à projets Jeunes (au total, deux 2ème places, et une première place pour les votes Facebook)

Banyuls-sur-Mer, un front-de-mer réhabilité qui offre un décor de carte postale avec des bancs publics, à l’ombre de palmiers, qui regardent la mer.

Sur la côte vermeille, dans sa commune de Banyuls-sur-Mer (4 860 habitants au 31 décembre 2017) dont il est le maire, c’est presque une révolution de palais qu’est en train d’organiser Jean-Michel Solé ! Il a décidé d’investir massivement dans le village et pour cela il est passé à l’offensive. Peu importe le Qu’en dira-t-on, c’est sur le ton de Qui m’aime me suive qu’il se lance en se fixant comme ligne de conduite pour garder le cap : aucune augmentation d’impôt, aucun recours à l’emprunt, « mais des investissements malins grâce aux subventions » et à des partenariats pour le moins originaux. Le défi, son défi, est là : continuer d’investir sans augmenter la fiscalité.

Le budget 2018 de la commune a été voté lors du dernier conseil municipal en date, le 12 avril, et selon lui « il marque la concrétisation des projets portés par la municipalité ». Le montant total du budget s’élève à 13 012 200€. La part de l’investissement s’élève et s’équilibre à 5 364 200€.

« AVEC JEAN REDE, NOUS AVIONS FAIT

ENSEMBLE UN PREMIER MANDAT MAGNIFIQUE »

Les Banyulencs n’ont pas fini d’être étonnés, surpris, car inlassablement, infatigablement, leur maire entend bien poursuivre son œuvre, avec détermination, conviction… et passion. Celui qui fit ses premiers pas, en politique locale, en devenant un discret compagnon de route municipale et le 1er adjoint dans l’ombre d’un personnage imposant, un certain Jean Rède, est bien décidé aujourd’hui à s’affranchir de ce passé là sans le renier : « Quand je suis arrivé, on m’a catalogué comme le fils spirituel de Jean Rède. J’ai une certaine affection pour l’homme. Il restera comme une personnalité, attachante, qui a marqué Banyuls-sur-Mer, cela est incontestable. Mais je ne me revendique pas de lui, même si je reconnais que le premier mandat que nous avons fait ensemble était magnifique. Le deuxième, moins. Puis nous avons été battus ».

Leur histoire s’arrête là. Son heure est venue, à lui, d’entrer dans la lumière, sous les phares de l’actualité locale. En 2014, lorsque Jean-Michel Solé est élu maire de Banyuls-sur-Mer, sur la seule force de son programme, porté par une équipe cohérente, rajeunie et ambitieuse « pour l’intérêt général de Banyuls », s’empresse-t-il de légender, il a aussitôt planté le décor : une stratégie de développement de territoire, pour un tourisme durable, innovant, solidaire et intégré. C’est son « Plan Littoral 21 », dont les fondations et les repères reposent sur une croissance bleue à l’horizon 2020, c’est-à-dire à la fin de son premier mandat municipal, car il admet sans fanfaronner qu’il lui en faudra bien un second pour mettre tous ses projets bout à bout et les réaliser entièrement. Pour cela, il compte sur la confiance de ses administrés. Pour cela, il promet de ne pas hésiter à faire du porte-à-porte pour expliquer aux habitants ce qu’il en est, pour les convaincre s’il le faut : « le dialogue permet toujours d’effacer les incompréhensions, si l’écoute est dans les deux sens », plaide-t-il.

Aménagement du front-de-mer, mise aux normes et extension du port, réfection du toit de l’espace Bartissol, travaux sur la route des mas, centre régional de sommellerie, reconstruction du centre hélio-marin, déménagement des EHPAD « Vincent-Azéma » et « Paul Reig » pour les regrouper dans un même site, accessible et conforme à la réglementation, etc.-etc., aucune autre commune du littoral roussillonnais n’affiche une telle feuille de route. Il n’en est pas peu fier. Cet homme de droite, hôtelier de profession, vigneron par passion (il a présidé le GICB/ Groupement Interprofessionnel du Cru Banyuls de 2004 à 2012), est capable de rendre un bel hommage dans la même phrase à Pierre Aylagas, l’ex-député maire socialiste d’Argelès-sur-Mer aujourd’hui aux commandes de la communauté de communes Albères-Côte Vermeille-Illibéris, ou à Alain Ferrand, le très remuant maire Les Républicains (LR) du Barcarès : « J’apprécie les gens qui bougent, qui vont jusqu’au bout de leurs idées, et ces deux élus, sur leur territoire, assument leur choix, leurs méthodes de travail. Ils sont capables de pousser loin le compromis tout en ne changeant pas de cap. Ils ont une vision territoriale ».

Jean-Michel Solé détaille à des habitants la 2ème tranche du projet de l’équipe municipale pour le front-de-mer.

« J’AI HERITE D’UN PORT DANGEREUX…

ET D’UN PROJET INTENABLE FINANCIEREMENT »

Parmi les premiers dossiers sur lesquels il a fallu qu’il intervienne rapidement lorsqu’il a pris l’habit de maire, Jean-Michel Solé cite sans détours celui du port : « J’ai hérité en arrivant d’un port dangereux avec un projet intenable financièrement et qui surtout ne correspondait pas à la ville, mais je pourrais évoquer pêle-mêle la délocalisation du centre hélio-marin déjà vidé de son contenu lorsque j’ai accédé aux commandes de Banyuls-sur-Mer et d’autres sujets (…) ».

Pour ce qui est de la reconstruction du centre hélio-marin, le projet vise à regrouper sur le site, dans des locaux neufs adaptés aux besoins des usagers : le Mas Sol i Mar (59 places), soit quatre unités de quatorze lits (+ 1 lit d’accueil d’urgence) ; un EHPAD de 144 places regroupant des structures existantes mais obsolètes (l’EHPAD « Vincent Azéma » de 59 places et l’EHPAD public « Paul Reig » de 85 places) : « l’association de ces trois structures aujourd’hui vétustes permet d’améliorer la prise en charge des usagers », confirme Jean-Michel Solé. « Un Groupement de Coopération sociale et médico-social (GCSMS) sera créé entre les trois partenaires pour assurer une meilleure coordination de ces structures sur un même site ».

Ce projet de déconstruction et reconstruction verra les bâtiments actuels progressivement démolis, les deux services du SSR actuellement sur site déménageront au centre hospitalier de Perpignan en 2019, les lieux seront complètement reconvertis. L’enjeu, c’est de sauver la maison de retraite « Paul Reig » et de pérenniser les 220 emplois concernés sur la commune : « Ce qui est maintenant garanti », affirme Monsieur le maire.

Mais l’actualité du moment, c’est bien sûr l’aménagement du front-de-mer, dont il n’est d’ailleurs pas peu fier. Déjà pour ce qui est du financement de ces grands travaux, dont l’enveloppe de la 1ère tranche (réalisée en 2017) s’élève à 2 612 439,38€, il décortique un autofinancement de 46,73% du montant global (soit 29,73% en excédent de fonctionnement et 17% grâce à un emprunt de 444 114,69€), auquel viennent s’ajouter donc le financement complémentaire (53,27%) issu de subventions (36,87%) et de dotations (16,40% – récupération TVA). Pour ce qui est des subventions obtenues sur ce dossier, à savoir un total de 963 224,05€ (36,87% de l’enveloppe), toutes les institutions sollicitées ont répondu présentes : l’Europe, l’Etat, la Région et le Département.

« Bien que n’étant pas inscrit dans notre programme initial, la revitalisation du front-de-mer s’est imposée comme une évidence », souligne Jean-Michel Solé. « Il fait partie de notre stratégie de reconquête du centre urbain. Cœur de ville, lieu de rencontre intergénérationnel, de déambulations pour tous, lieu d’animation, de fête, il joue un rôle prépondérant pour notre vivre ensemble, véritable colonne vertébrale de Banyuls. Il assure la liaison port/ centre-ville, centre-ville/ quartier du Cap d’Osna, commerces. Il s’intègre dans le cheminement piéton naturel su sentier littoral qui va des Elmes jusqu’au Laboratoire Arago. Son concept s’inscrit dans l’architecture historique de notre cher Banyuls, retrouvant cette grande esplanade, rambla ouverte sur la mer, nous ramenant à nos origines de marins-pêcheurs-vignerons (…) », n’hésite pas à écrire le Premier magistrat dans son dernier bulletin municipal daté d’avril 2018.

« QUAND LES TOURISTES VIENNENT CHEZ NOUS,

ILS VEULENT D’ABORD VOIR LA MER ET PAS DES HAIES D’ARBUSTES »

Ce réaménagement du front-de-mer est inscrit au cœur du dossier Odyssea « Stratégie de développement du territoire pour un tourisme durable, innovant, solidaire et intégré – Plan Littoral 21, croissance bleue/ Horizon 2020. »

Pour ce qui est de la 2ème tranche, Jean-Michel Solé se fait fort de réunir des subventions pour un montant de 53% ! Il a déjà obtenu 100 000€ de subventions pour l’éclairage public : « En dehors de l’aspect esthétique, touristique et visuel du projet, confie-t-il, l’opération est une réussite, un bon plan financièrement parlant, elle permet surtout de dessiner une jonction parfaite entre la ville et son port. La réalisation de ces travaux va enfin rouvrir la ville sur la mer ! C’est primordial. Le résultat : une vue imprenable, panoramique sur la mer. Il y a trop d’endroits sur notre littoral où l’on passe sans voir la Méditerranée alors qu’on longe la côte. C’est absurde. Quand les touristes viennent chez nous, ils veulent voir la mer et pas des haies d’arbustes de deux mètres. Il faut que les gens, en voiture ou à pied, et quand ils sont assis, voient la mer. De partout ! ». De plus, de nouvelles statues signées Maillol devraient venir agrémenter la promenade… Le maire nous l’a assuré.

Les travaux du front-de-mer devraient être achevés avant la haute saison estivale. C’est la présidente de la Région Occitanie/ Pyrénées-Méditerranée, Carole Delga en personne, qui devrait venir inaugurer le nouveau front-de-mer de Banyuls.

Pour ce qui est du port proprement dit, trois objectifs guident l’action municipale : ne pas défigurer la baie, permettre l’écoulement de la rivière, faire un port à la taille de Banyuls. Coût de l’opération : 9,2 millions d’€ hors taxes ; elle comprend la mise en sécurité et aux normes du site, sa totale réhabilitation qui permettra de créer une quarantaine d’anneaux supplémentaires pour passer de 340 places actuellement à une capacité d’accueil d’environ 380 : « Au-delà de cette ambition nous allons redonner au port sa fonction économique, ce qui à terme devrait permettre d’installer in situ une trentaine de salariés. Le programme Odyssea, mais aussi Didier Codorniu, vice-président de la Région et maire de Gruissan dans l’Aude, sans oublier Serge Pallares, le président de la fédération française des ports de plaisance originaire de Saint-Cyprien, nous ont beaucoup aidé dans ce projet. Sans eux, c’eut été impossible d’aller aussi loin dans ce projet. Grâce à eux, Banyuls fait partie des trois grands  projets en Pays catalan, avec Le Barcarès et Torreilles ».

A suivre.

Jean-Michel Solé, maire de Banyuls-sur-Mer : « Aucune augmentation d’impôt, mais des investissements malins grâce aux subventions et à des partenariats innovants ».

Dans son édition datée de ce mardi 19 juin 2018, le journal Le Monde, sur deux pages intitulées « Territoires, le filon des festivals », effectue le classement des plus grands festivals de France.
En région Occitanie/ Pyrénées-Méditerranée, les deux seuls festivals de musique recensés pour jouer dans la cour des grands sont : Jazz in Marciac… et l’Electrobeach au Barcarès !
Tous festivals confondus, seul, toujours dans la région Occitanie/ Pyrénées-Méditerranée, le festival international du photojournalisme de Perpignan, VISA pour l’Image, émerge.
Aucun autre festival ne serait donc visible…
Dans cet article, Nathalie FABRY, directrice de l’IFIS, confie notamment : « Le temps des festivals aspirateurs à subventions, ou pour faire plaisir au maire, est révolu (…) ».
Il serait grands que sous le soleil du Roussillon, nos édiles entendent la musique… à défaut de connaître la chanson !
Ce dossier rédactionnel du journal Le Monde, remarquablement détaillé, donne des ailes internationales au festival Electrobeach, c’est incontestable. Il vient aussi placer sous les projecteurs sa créatrice, Joëlle FERRAND, ainsi que la municipalité de son époux, Alain FERRAND, qui ont su convaincre les milieux artistiques et les professionnels pour venir sur la Côte Salanquaise défier les plus grands rendez-vous musicaux de la planète !

Farid BELACEL, Louis SCHWEITZER et Yan AGUILA (photos@Shareanddare – Philippe Vidot).

Chaque année, le Club des juristes, en partenariat avec le journal Le Monde et la revue Pouvoirs, décerne le Prix Guy Carcassonne du meilleur article de droit constitutionnel. Cette année, c’est Farid BELACEL, docteur en droit public de l’Université Perpignan Via Domitia (UPVD), et par ailleurs directeur du pôle juridique la Ville du Barcarès, qui a remporté la prestigieuse distinction.
Constitutionnaliste reconnu et disparu prématurément en 2013, Guy CARCASSONNE était engagé dans la diffusion des savoirs. En sa mémoire, le prix qui porte son nom récompense chaque année l’auteur d’un article inédit et portant sur une question constitutionnelle. Cet article doit faire aider à faire comprendre au plus grand nombre les enjeux juridiques, politiques, sociaux posés par la question abordée.
Le Prix Guy Carcassonne 2018 du meilleur article constitutionnel a été attribué à Farid BELACEL, chargé d’enseignement à l’UPVD, pour son article #MeToo “C’est en protégeant les droits des « cochons » que l’on préservera la liberté des femmes de les accuser”.
La cérémonie était organisée dernièrement au Conseil constitutionnel. C’est l’ancien Premier Ministre Laurent FABIUS en personne, son président, qui a remis le prix. La dotation, d’un montant de 1 500 euros, a quant à elle été remise par Nicolas MOLFESSIS, secrétaire général du Club des juristes.
Cette année, le jury était composé du directeur de la revue Pouvoirs, Olivier DUHAMEL, du Secrétaire général du Gouvernement, Marc GUILLAUME, de la rectrice de la Région académique de Corse, Julie BENETTI, de deux professeurs des Universités, Wanda MASTOR – Université Toulouse 1 Capitole – et Géraldine MUHLMANN – Université Paris II Panthéon-Assas –, de deux journalistes du Monde, Gérard COURTOIS et Patrick ROGER, et d’une journaliste indépendante danoise, Dyveke VESTERGAARD JOHANSEN.
Près de 130 articles ont été retenus dans le cadre de l’édition 2018 du Prix Guy Carcassonne.
Chaque membre du jury les a lus, sans connaître le nom des auteurs, et les a classés A, B ou C. Après avoir délibéré sur ceux ayant reçu les meilleures appréciations, le jury a décidé d’attribuer à l’unanimité de ces membres le Prix à Farid BELACEL pour son article le mouvement #MeToo.
« Remporter le Prix Guy Carcassonne, c’est un comme être champion de France de droit constitutionnel », nous a confié l’heureux récipiendaire. Après le bouclier de Pro D2 glané par l’USAP, c’est un autre prestigieux titre qui vient d’être ramené en terres catalanes.

Farid BELACEL et Alain FERRAND, maire du Barcarès, vice-président de la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole.

Farid BELACEL, Laurent FABIUS et Alain FERRAND.

De très nombreuses personnalités roussillonnaises avaient fait le déplacement, ce samedi 25 août 2018, jusqu’à Londres, pour assister à la finale de la Challenge Cup britannique, parmi elles : Fatima DAHINE, adjointe au maire de Perpignan déléguée aux Sports, conseillère régionale de la Région Occitanie/ Pyrénées-Méditerranée, Robert VILA, maire de Saint-Estève, conseiller départemental, vice-président de PMM, Alain FERRAND, maire du Barcarès, vice-président de la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole (PMM),  et son épouse, Joëlle FERRAND-IGLESIAS, Jean-Marc PUJOL, maire de Perpignan, président de PMM, Hermeline MALHERBE, présidente du Département des Pyrénées-Orientales, Olivier AMIEL, adjoint au maire de Perpignan délégué à la Politique de la Ville (Rénovation Urbaine), conseiller communautaire, Michel GUALLAR, président de la Chambre d’Agriculture des P-O, Louis CASEILLES, maire de Saint-Laurent-de-Cerdans, Robert OLIVE, maire de Saint-Féliu-d’Amont, Kamel CHIBLI, conseiller régional, Franck ALART, concessionnaire automobile BMW, Guy DURAND, fédération département du Bâtiment’66, Bernard MASSAS, de la CGPME…

Dans les tribunes : Alain FERRAND, maire du Barcarès, vice-président de la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole (PMM), Jean-Marc PUJOL, maire de Perpignan, président de PMM, et Bernard GUASCH, président-magnifique des Dragons Catalans.

A l’entrée du Wembley Stadium de Londres : Alain FERRAND, Bernard GUASCH, les conseillers régionaux Kamel CHIBLI et Guy ESCLOPé.

Une ambiance de folie pour des joueurs qui ont été extra-ordinaires ! Ce jour-là, les Dragons Catalans ont fait entrer le XIII dans l’Histoire du rugby mondial.

Les Dragons Catalans champions… d’Angleterre !

Relevé sur le blog de Jean-Marc PUJOL, maire de Perpignan, président de la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole (PMM)…

« Historique !

Ce samedi 25 août 2018, au Wembley Stadium, au terme d’une finale à suspense, l’équipe perpignanaise des Dragons Catalans a remporté la Coupe d’Angleterre face aux Warrington Wolves, 20 à 14 !

Historique ! Parce qu’il s’agit là du premier trophée international ramenés par les Catalans dans la Rugby League.

Magique ! Parce que spectacle il y eut, du début à la fin de la rencontre.

Héroïque ! Parce que nos Dragons Catalans, emmenés par un capitaine impressionnant dans le jeu, le pilier Rémi CASTY, se sont attaqués avec panache aux Warrington Wolves qui, ne l’oublions pas, ont remporté huit fois cette Cup en seize finales.

Je n’oublierai jamais cette Marseillaise entonnée dès les premières minutes de la 2ème mi-temps, par près de 6 000 supporters francophones venus des quatre coins du monde, dans une ambiance de folie. Oui, n’ayons pas peur d’utiliser et d’user et d’abuser des superlatifs pour savourer ce grand moment historique dans l’Histoire du rugby à XIII français… et européen !

Bravo aux Dragons Catalans, un immense MERC! aux joueurs, au staff, aux supporters… et au président Bernard GUASCH.

Nous les recevrons tous – les Dragons Catalans vainqueurs 2018 de Wembley, mais également les joueurs de l’USAP Champions de France 2018 – avec l’ensemble du conseil municipal, ainsi que Mme la Présidente du Département Hermeline Malherbe, à Perpignan, place de la Victoire (Castillet), ce lundi 27 août à 18h. Tous les Perpignanais.e.s, tous les habitants du territoire sont chaleureusement conviés à participer à cette cérémonie ».

NDLR. Elus du Département et de la Région sont également associés à ce rendez-vous festif.

Parmi les nombreuses personnalités du département des Pyrénées-Orientales qui, samedi dernier, ont fait le déplacement à Londres pour assister dans le Wembley Stadium à la finale de la Challenge Cup (championnat d’Angleterre de rugby à XIII) : Hermeline MALHERBE, présidente du Département, et Alain FERRAND, maire du Barcarès, vice-président de la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole (PMM).

Décidément, Alain FERRAND n’en finit plus d’accumuler les succès, s’agissant du rayonnement culturel et touristique de la commune du Barcarès dont il est le dynamique et innovant maire.

Par arrêté préfectoral en date du 22 août 2018, le préfet des Pyrénées-Orientales, Philippe CHOPIN, a considéré « que les conditions nécessaires au surclassement de la commune du Barcarès dans la strate démographique de 80 000 à 150 000 habitants sont réunies ».

La commune du Barcarès est donc surclassée, en tant que station classée de tourisme, dans la catégorie démographique de 80 000 à 150 000 habitants, par référence à sa population totale calculée par l’addition de sa population permanente et de sa population estivale moyenne.

De fait, Le Barcarès, après Perpignan et Argelès-sur-Mer, devient la 3ème commune la plus importante du département des P-O… de par son poids démographique !

Hier, samedi 1er septembre 2018, en présence de très nombreuses personnalités locales et régionales, Alain FERRAND (LR/ Les Républicains), maire du Barcarès, vice-président de la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole (PMM), a rendu un hommage appuyé aux rapatriés Pieds-Noirs devant la stèle érigée près de la plage et qui leur est dédiée.

Parmi les personnalités présentes : Louis ALIOT (Rassemblement National), député de la 2ème circonscription des P-O, conseiller municipal et communautaire de Perpignan, Philippe BENGUIGUI, président de l’association ZAKHOR pour la Mémoire, Angel COLOMBERA, président de l’UBAC’66, Guy GAUTHIER, président de la FNACA’66, Alain GOT, maire de Saint-Laurent-de-la-Salanque, Mohamed LACHEB et Nasser NOUALI, représentants d’associations Harki, Sébastien LETORET, président du Souvenir Français, Stéphane LUCCI, président de l’Union Syndicale de Défense des Intérêts des Français Repliés d’Algérie et d’Outre-Mer (USDIFRA), Amar MENIKER, président du collectif Génération Harki, Mémoire & Vérité…

« C’est avec beaucoup d’émotion que la commune du Barcarès accueille cette XIIème cérémonie commémorative, à la mémoire des rapatriés d’Algérie », a prononcé Alain FERRAND en ouverture de son discours. « Nous voici de nouveau réunis face à cette stèle commémorative érigée en 2007 par la municipalité, à l’initiative de mon épouse Joëlle, en hommage aux Français d’Algérie et à leurs disparus. J’allais dire nous voici « tous ensemble »… mais en ce jour, cela n’est pas totalement vrai. Si l’émotion est grande, c’est parce qu’il manque parmi nous, ceux qui furent à l’origine de tout cela. Après la disparition de Gabriel MENE, il y a deux ans déjà, la communauté des rapatriés d’Algérie a perdu son homologue barcarésien, notre ami Pierre ALOY, président de l’Amicale des Pieds-Noirs du Barcarès. En ce 1er septembre, ce fervent défenseur des rapatriés d’Algérie manque pour la première fois à l’appel. Alors, vous l’avez compris, cette cérémonie lui sera tout particulièrement dédiée. Avant toute chose, je tiens à adresser une nouvelle fois à la famille de Pierre ALOY, ainsi qu’à ses proches, toute ma compassion et a sollicitude. Je renouvelle à son fils Frédéric, adjoint à l’Urbanisme à mes côtés, toute ma sollicitude (…) ».

« Encore aujourd’hui, je sais ce que représentent pour vous tous présents ici, autour de ce rendez-vous de mémoire, les souvenirs de souffrance, dans la tourmente des événements d’Algérie. Encore aujourd’hui, je sais combien, dans les familles, les blessures du passé restent présentes dans les cœurs. Le plus douloureux, peut-être pour certains, c’est d’avoir cru jusqu’au bout qu’ils pourraient rester. Le plus douloureux, pour beaucoup, c’est d’avoir vécu l’exode : vers cette métropole qui ne voulait pas les accueillir. Mais plus fort que le ressentiment, plus fort que la haine, le souvenir des jours heureux a su porter la plupart d’entre vous vers des lendemains plus heureux. Certes, il a fallu tout reconstruire comme au temps des premières heures sur cette terre d’Algérie transformée en véritable jardin au bord de la Méditerranée. Pierre ALOY, justement, en était un exemple, et son jardin du Mas de la Tourre embaumait du parfum des orangers, de la menthe nanah et de la coriandre fraîche (…) ».

« Aussi, en cette occasion, je souhaite continuer d’exprimer tout le respect que je porte à l’ensemble des rapatriés d’Algérie, mais aussi à la communauté Harki. Les liens d’amitié qui me lient plus particulièrement aux rapatriés du Barcarès et à leur histoire, m’ont convaincu de la nécessité de rendre hommage à toutes celles et à ceux qui ont connu les épreuves douloureuses de l’exil, de la persécution, de l’exclusion. Notre commune du Barcarès est fière de compter aujourd’hui, parmi sa population, plusieurs centaines de rapatriés. Leurs enfants sont dignement représentés : dans notre conseil municipal, au sein de nos associations très impliquées, parmi nos valeureux délégués de quartier, ou encore parmi nos dévoués bénévoles… Aussi, chers amis Pieds-Noirs, sachez que nous serons toujours particulièrement honorés de nous tenir à nouveau à vos côtés, ici au Barcarès. Il ne fait aucun doute que votre histoire est à l’origine de la richesse des savoir-faire que vous avez su développer (…). Dans cette démarche de devoir de mémoire, et de transmission, comme par le passé, la Ville du Barcarès continuera de vous accueillir et de vous soutenir. Nous serons toujours à vos côtés, en particulier lors de cette cérémonie hautement symbolique, sans distinction religieuse ni politique ».

Dans la suite de l’opération du train de la French Tech, à l’initiative de l’Agence de Développement Economique Pyrénées Méditerranée Invest (ADE-PMI) et de son président Laurent GAUZE, vice-président de la métropole Perpignan Méditerranée (PMM) en charge du Développement économique du territoire, Cyril PIQUEMAL, consul général de France à Barcelone (Espagne), est venu à la rencontre de l’éco-système économique départemental.

Cette visite s’est déroulée sur deux jours, jeudi et vendredi derniers, pendant lesquels, entre autre, lors d’un déjeuner au restaurant « La Villa », le Consul a pu rencontrer de nombreux acteurs locaux de la vie économique, à la tête de PME, de grandes entreprises et de start-ups, parmi lesquels : Paul COSTASECA, FLIPR ; Julien GAUTIER, I See U ; Philippe FONT, ICM Soft ; Grégoire BAISSAS DE CHASTENET, Pousse Pousse ; Aurélie BELLO DARGENT, Ir Oui Come ; Hervé JARRIER, Coursicab ; Raymond MITJAVILA, Mitjavila ; Christine REY, Ecole de formation IDEM ; Joris NAVARRO, Fablab Square Go Lab ; Chrystel SAGOLS, 18 Printemps ; Stéphane ARCIMBAUD, Arcambal ;Cyril CORNES de Saint Charles International,  Laurent GAUZE, Pyrénées Méditerranée Invest ; Bernard FOURCADE, Chambre de Commerce et d’Industrie des Pyrénées-Orientales (CCI’66) ; Hélène BILLES-BOBO, Pyrénées Méditerranée Invest.

En début d’après-midi, Cyril PIQUEMAL et une partie de la délégation se sont rendus sur le pôle d’activités économiques de Tecnosud ainsi que de la pépinière Impulsion Entreprises, en présence de Laurence BERTRANA, chargée de détection de projets et d’accompagnement des pépinières d’entreprises auprès de Perpignan Méditerranée Métropole (PMM).

Puis il a visité l’école de robotique IMERIR, sur la campus d’Orles, en présence du directeur Laurent DENET et de Joris NAVARRO ; une visite qui s’est poursuivie au SquareGoLab avec une présentation de l’espace Orles Valley.
Le vendredi, suite à un planning élaboré par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, le consul général de France à Barcelone a pu se rendre à la Bijouterie Gil et Jean pour découvrir le Grenat catalan,en compagnie du président de la Chambre des métiers Robert BASSOLS à Perpignan.

Enfin, Cyril PIQUEMAL a conclu son séjour sur le territoire de PMM par un accueil dans les locaux de l’IDEM (Ecole des métiers créatifs), au Soler, en présence des fondateurs et dirigeants,  Pierre ROCA et Christine REY.

Alain FERRAND (photo ci-dessous), maire du Barcarès, vice-président de PMM, s’est également entretenu avec le consul général de France à Barcelone.

Martine GISOLO-ANGLIi a représenté le maire Alain FERRAND retenu par d’autres obligations. Elle a présenté aux participants un montage vidéo expliquant les grands axes de développement de la ville autour du projet Ila Catala. Parmi ceux-ci, la place belle faite à une ville éco-responsable, au développement des voies vertes notamment, autour des déplacements doux. La commune qui dispose déjà d’une quinzaine de kilomètres de pistes cyclables reliant tous ses quartiers, prévoit de doubler cette superficie, à hauteur de 500 000 euros de travaux.

L’adjointe par ailleurs déléguée à la Jeunesse a ajouté que les nouvelles voiries intégraient désormais tous les modes de déplacement doux, faisant aussi référence aux skates et autres modes de déplacement prisés des jeunes. Le docteur Marc MéDINA, président  de l’Office communautaire de Tourisme Perpignan-Méditerranée (OTC), maire de Torreilles, a ensuite à son tour souhaité la bienvenue aux cyclotouristes (« Bienvenue chez nous »), prônant le Vélotourisme pour sa recherche d’authenticité, valorisant un « Tourisme de qualité ». Il a rappelé l’implication de la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole (PMM) et de l’OTC dans la valorisation de ce projet et le développement des pistes cyclables afin de « jouer le jeu de l’accueil du tourisme à vélo dans notre département. »

De son côté, l’ex-sénatrice Hermeline MALHERBE, présidente du Département, a fait le récapitulatif du chemin parcouru et des routes cyclables du département, insistant sur l’importance de développer le tourisme quatre  saisons… ce que permet le vélo, outil très intéressant pour découvrir le pays catalan. Rappel sur l’Euro Velo 8 et l’inauguration des pistes cyclable de PMM raccordées à cette veloroute.

Ils ont ensuite remis aux Bureaux d’Information Touristique des villes concernées, dont le Barcarès, les plaques du label « Accueil Vélo ».

Sylvie PALPANT et Alain MICHEL (photos ci-dessous) ont tous deux remercié l’accueil qui leur avait été réservé et félicité le département pour toutes ces réalisations très appréciées des cyclotouristes.

Au terme des échanges, Martine GISOLO-ANGLI a remis à madame la présidente un panier rempli de raisin muscat cueilli le matin même dans une vigne du Barcarès. Un produit 100% sud de France, qui a également régalé la pause gourmande des cyclistes (il y avait du raisin muscat, des rousquilles et croquants).

Hier, samedi 1er septembre 2018, en présence de très nombreuses personnalités locales et régionales, Alain FERRAND (LR/ Les Républicains), maire du Barcarès, vice-président de la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole (PMM), a rendu un hommage appuyé aux rapatriés Pieds-Noirs devant la stèle érigée près de la plage et qui leur est dédiée.

Parmi les personnalités présentes : Louis ALIOT (Rassemblement National), député de la 2ème circonscription des P-O, conseiller municipal et communautaire de Perpignan, Philippe BENGUIGUI, président de l’association ZAKHOR pour la Mémoire, Angel COLOMBERA, président de l’UBAC’66, Guy GAUTHIER, président de la FNACA’66, Alain GOT, maire de Saint-Laurent-de-la-Salanque, Mohamed LACHEB et Nasser NOUALI, représentants d’associations Harki, Sébastien LETORET, président du Souvenir Français, Stéphane LUCCI, président de l’Union Syndicale de Défense des Intérêts des Français Repliés d’Algérie et d’Outre-Mer (USDIFRA), Amar MENIKER, président du collectif Génération Harki, Mémoire & Vérité…

« C’est avec beaucoup d’émotion que la commune du Barcarès accueille cette XIIème cérémonie commémorative, à la mémoire des rapatriés d’Algérie », a prononcé Alain FERRAND en ouverture de son discours. « Nous voici de nouveau réunis face à cette stèle commémorative érigée en 2007 par la municipalité, à l’initiative de mon épouse Joëlle, en hommage aux Français d’Algérie et à leurs disparus. J’allais dire nous voici « tous ensemble »… mais en ce jour, cela n’est pas totalement vrai. Si l’émotion est grande, c’est parce qu’il manque parmi nous, ceux qui furent à l’origine de tout cela. Après la disparition de Gabriel MENE, il y a deux ans déjà, la communauté des rapatriés d’Algérie a perdu son homologue barcarésien, notre ami Pierre ALOY, président de l’Amicale des Pieds-Noirs du Barcarès. En ce 1er septembre, ce fervent défenseur des rapatriés d’Algérie manque pour la première fois à l’appel. Alors, vous l’avez compris, cette cérémonie lui sera tout particulièrement dédiée. Avant toute chose, je tiens à adresser une nouvelle fois à la famille de Pierre ALOY, ainsi qu’à ses proches, toute ma compassion et a sollicitude. Je renouvelle à son fils Frédéric, adjoint à l’Urbanisme à mes côtés, toute ma sollicitude (…) ».

« Encore aujourd’hui, je sais ce que représentent pour vous tous présents ici, autour de ce rendez-vous de mémoire, les souvenirs de souffrance, dans la tourmente des événements d’Algérie. Encore aujourd’hui, je sais combien, dans les familles, les blessures du passé restent présentes dans les cœurs. Le plus douloureux, peut-être pour certains, c’est d’avoir cru jusqu’au bout qu’ils pourraient rester. Le plus douloureux, pour beaucoup, c’est d’avoir vécu l’exode : vers cette métropole qui ne voulait pas les accueillir. Mais plus fort que le ressentiment, plus fort que la haine, le souvenir des jours heureux a su porter la plupart d’entre vous vers des lendemains plus heureux. Certes, il a fallu tout reconstruire comme au temps des premières heures sur cette terre d’Algérie transformée en véritable jardin au bord de la Méditerranée. Pierre ALOY, justement, en était un exemple, et son jardin du Mas de la Tourre embaumait du parfum des orangers, de la menthe nanah et de la coriandre fraîche (…) ».

« Aussi, en cette occasion, je souhaite continuer d’exprimer tout le respect que je porte à l’ensemble des rapatriés d’Algérie, mais aussi à la communauté Harki. Les liens d’amitié qui me lient plus particulièrement aux rapatriés du Barcarès et à leur histoire, m’ont convaincu de la nécessité de rendre hommage à toutes celles et à ceux qui ont connu les épreuves douloureuses de l’exil, de la persécution, de l’exclusion. Notre commune du Barcarès est fière de compter aujourd’hui, parmi sa population, plusieurs centaines de rapatriés. Leurs enfants sont dignement représentés : dans notre conseil municipal, au sein de nos associations très impliquées, parmi nos valeureux délégués de quartier, ou encore parmi nos dévoués bénévoles… Aussi, chers amis Pieds-Noirs, sachez que nous serons toujours particulièrement honorés de nous tenir à nouveau à vos côtés, ici au Barcarès. Il ne fait aucun doute que votre histoire est à l’origine de la richesse des savoir-faire que vous avez su développer (…). Dans cette démarche de devoir de mémoire, et de transmission, comme par le passé, la Ville du Barcarès continuera de vous accueillir et de vous soutenir. Nous serons toujours à vos côtés, en particulier lors de cette cérémonie hautement symbolique, sans distinction religieuse ni politique ».

Dans la suite de l’opération du train de la French Tech, à l’initiative de l’Agence de Développement Economique Pyrénées Méditerranée Invest (ADE-PMI) et de son président Laurent GAUZE, vice-président de la métropole Perpignan Méditerranée (PMM) en charge du Développement économique du territoire, Cyril PIQUEMAL, consul général de France à Barcelone (Espagne), est venu à la rencontre de l’éco-système économique départemental.

Cette visite s’est déroulée sur deux jours, jeudi et vendredi derniers, pendant lesquels, entre autre, lors d’un déjeuner au restaurant « La Villa », le Consul a pu rencontrer de nombreux acteurs locaux de la vie économique, à la tête de PME, de grandes entreprises et de start-ups, parmi lesquels : Paul COSTASECA, FLIPR ; Julien GAUTIER, I See U ; Philippe FONT, ICM Soft ; Grégoire BAISSAS DE CHASTENET, Pousse Pousse ; Aurélie BELLO DARGENT, Ir Oui Come ; Hervé JARRIER, Coursicab ; Raymond MITJAVILA, Mitjavila ; Christine REY, Ecole de formation IDEM ; Joris NAVARRO, Fablab Square Go Lab ; Chrystel SAGOLS, 18 Printemps ; Stéphane ARCIMBAUD, Arcambal ;Cyril CORNES de Saint Charles International,  Laurent GAUZE, Pyrénées Méditerranée Invest ; Bernard FOURCADE, Chambre de Commerce et d’Industrie des Pyrénées-Orientales (CCI’66) ; Hélène BILLES-BOBO, Pyrénées Méditerranée Invest.

En début d’après-midi, Cyril PIQUEMAL et une partie de la délégation se sont rendus sur le pôle d’activités économiques de Tecnosud ainsi que de la pépinière Impulsion Entreprises, en présence de Laurence BERTRANA, chargée de détection de projets et d’accompagnement des pépinières d’entreprises auprès de Perpignan Méditerranée Métropole (PMM).

Puis il a visité l’école de robotique IMERIR, sur la campus d’Orles, en présence du directeur Laurent DENET et de Joris NAVARRO ; une visite qui s’est poursuivie au SquareGoLab avec une présentation de l’espace Orles Valley.
Le vendredi, suite à un planning élaboré par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, le consul général de France à Barcelone a pu se rendre à la Bijouterie Gil et Jean pour découvrir le Grenat catalan,en compagnie du président de la Chambre des métiers Robert BASSOLS à Perpignan.

Enfin, Cyril PIQUEMAL a conclu son séjour sur le territoire de PMM par un accueil dans les locaux de l’IDEM (Ecole des métiers créatifs), au Soler, en présence des fondateurs et dirigeants,  Pierre ROCA et Christine REY.

Alain FERRAND (photo ci-dessous), maire du Barcarès, vice-président de PMM, s’est également entretenu avec le consul général de France à Barcelone.

Martine GISOLO-ANGLIi a représenté le maire Alain FERRAND retenu par d’autres obligations. Elle a présenté aux participants un montage vidéo expliquant les grands axes de développement de la ville autour du projet Ila Catala. Parmi ceux-ci, la place belle faite à une ville éco-responsable, au développement des voies vertes notamment, autour des déplacements doux. La commune qui dispose déjà d’une quinzaine de kilomètres de pistes cyclables reliant tous ses quartiers, prévoit de doubler cette superficie, à hauteur de 500 000 euros de travaux.

L’adjointe par ailleurs déléguée à la Jeunesse a ajouté que les nouvelles voiries intégraient désormais tous les modes de déplacement doux, faisant aussi référence aux skates et autres modes de déplacement prisés des jeunes. Le docteur Marc MéDINA, président  de l’Office communautaire de Tourisme Perpignan-Méditerranée (OTC), maire de Torreilles, a ensuite à son tour souhaité la bienvenue aux cyclotouristes (« Bienvenue chez nous »), prônant le Vélotourisme pour sa recherche d’authenticité, valorisant un « Tourisme de qualité ». Il a rappelé l’implication de la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole (PMM) et de l’OTC dans la valorisation de ce projet et le développement des pistes cyclables afin de « jouer le jeu de l’accueil du tourisme à vélo dans notre département. »

De son côté, l’ex-sénatrice Hermeline MALHERBE, présidente du Département, a fait le récapitulatif du chemin parcouru et des routes cyclables du département, insistant sur l’importance de développer le tourisme quatre  saisons… ce que permet le vélo, outil très intéressant pour découvrir le pays catalan. Rappel sur l’Euro Velo 8 et l’inauguration des pistes cyclable de PMM raccordées à cette veloroute.

Ils ont ensuite remis aux Bureaux d’Information Touristique des villes concernées, dont le Barcarès, les plaques du label « Accueil Vélo ».

Sylvie PALPANT et Alain MICHEL (photos ci-dessous) ont tous deux remercié l’accueil qui leur avait été réservé et félicité le département pour toutes ces réalisations très appréciées des cyclotouristes.

Au terme des échanges, Martine GISOLO-ANGLI a remis à madame la présidente un panier rempli de raisin muscat cueilli le matin même dans une vigne du Barcarès. Un produit 100% sud de France, qui a également régalé la pause gourmande des cyclistes (il y avait du raisin muscat, des rousquilles et croquants).

Alain FERRAND, maire du Barcarès, vice-président de la métropole Perpignan Méditerranée, a accueilli le Père Noël en personne sur le pont du paquebot ensablé Le Lydia, avant de laisser partir effectuer sa tournée des cheminées…

Depuis hier vendredi 30 novembre 18h, le Village de Noël du Barcarès a ouvert ses portes au public. Ils étaient nombreux à découvrir cette nouvelle édition construite dans les Jardins du Lydia. Lors de cette soirée de lancement, le maire Alain Ferrand ainsi que les élus ont réservé un accueil personnalisé aux barcarésiens venus en nombre. Lors de son mot de bienvenue dans un des salons du Lydia, le maire a présenté les nouveautés ainsi que les temps forts d’un programme d’animations particulièrement soutenu jusqu’au 13 janvier.

Entre les ateliers pour les enfants, les lectures de contes, les Kid’s Party ou encore la Maison du Père Noël au rez-de-chaussée du paquebot…tout est pensé pour permettre une immersion totale au cœur de la magie de Noël. Parmi les curiosités, le grand sapins de plus de 20 mètres de haut, ou encore la grande roue toisant le Lydia du haut de ses 55 mètres, les 3 grands chalets d’alpage, un parc animalier dans un écrin de verdure….ou encore un superbe fumoir tout en bois sous lequel il fait bon se ressourcer, déjà très prisé des visiteurs ! Le maire a rappelé la volonté de la commune du Barcarès de créer un événement à valeur de référence dans le sud de la France, une destination touristique en plein cœur de l’hiver, également vitrine de savoir-faire locaux et régionaux.

En plus du cadre absolument bluffant, les parades féériques, spectacles, soirées Djs…tout a été pensé pour faire de ces fêtes de fin d’année des moments uniques pour toute la famille, du plus petit au plus grand.

Programme de ce week-end :

SAMEDI 1er DECEMBRE

Journée : animation sur le marché de Noël

11h-12h : dans l’espace enfants à l’intérieur du Lydia, Lecture de contes (enfants de 3 à 5 ans)

17h 30 et 21h : PARADE LES WAGONOTES, spectacle de déambulations musicales autour d’un petit train tout droit sorti d’un dessin animé

20h : scène de la patinoire – DJ CHRIS VILA

DIMANCHE 2 DECEMBRE

Journée : animation sur le marché de Noël

15h 30 et 18h : PARADE LES WAGONOTES

A 11h au village du Barcarès devant le parvis de l’église, Arrivée de Saint Nicolas, Chants des enfants des écoles. Distribution de friandises par l’association Barc’anime.

Hermeline MALHERBE, présidente du Département, Alain FERRAND, maire du Barcarès, Carole DELGA, présidente de la Région, Jean-Marc PUJOL, président de la métropole Perpignan Méditerranée, et Michel POUDADE, maire des Angles.

Hier, jeudi 13 décembre 2018, en début de soirée, avait lieu l’inauguration du Village magique de Noël du Barcarès, installé en dimension hors normes habituelles (XXL) dans les célèbres jardins du non moins célèbre paquebot des sables, le Lydia.
De très nombreux élus du territoire de Perpignan Méditerranée Métropole (PMM), à commencer par le président de la communauté urbaine Jean-Marc PUJOL, maire de Perpignan, étaient présents aux côtés d’Alain FERRAND, maire du Barcarès, vice-président de PMM, qui comme à l’accoutumée avait mis les petits plats dans les grands pour soigner tous ses hôtes, venus parfois de loin, comme Carole DELGA, présidente de la Région Occitanie/ Pyrénées-Méditerranée. Parmi les autres personnalités locales qui avaient répondu à l’invitation, citons Hermeline MALHERBE, présidente du Département, et, bien sûr, Michel POUDADE, maire de la station de sports d’hiver Les Angles, commune jumelée avec celle du Barcarès dans le cadre événementiel de cette mise en scène spectaculaire autour de la magie de Noël.
Cette année plus que d’habitude, Alain FERRAND, son équipe municipale et les services techniques de la Ville, ont mis le paquet pour satisfaire un public le plus large possible, intergénérationnel.
Le temps des discours, qui a précédé les illuminations féériques, a permis à chacun des intervenants de rendre un hommage appuyé à toutes celles et à tous ceux qui sont à l’origine de cette remarquable organisation encensée jusque dans les médias (inter)nationaux !
Jean-Marc PUJOL a demandé à l’assistance d’observer une minute de silence pour les victimes de l’attentat de Strasbourg qui a fait quatre morts et de nombreux blessés, dont certains toujours dans un état critique.
Alain FERRAND et Michel POUDADE ont ensuite planté le décor du programme de la soirée, malgré la pluie, invitant chacun(e) à découvrir attractions enchantées, chalets traditionnels et boutiques éphémères, entre autres animations.
Jean-Marc PUJOL en a profité également, en totale admiration pour cet esprit de Noël qui souffle sur le territoire de la métropole à partir du Barcarès, pour féliciter les nombreuses communes qui dans une période difficile et compliquée n’hésitent pas, grâce à leurs élus, à redonner de l’espoir, de la confiance et de la générosité. Il a appelé en cette période de fêtes de fin d’année à ce que personne ne soit oublié, laissé sur le bord de la route : « c’est un moment où la solidarité doit s’exprimer plus que d’habitude ».

Lors de la minute de silence en hommage aux victimes de l’attentat de Strasbourg.

Cela fait maintenant trois années que la soirée des ambassadeurs existe, il s’agit là d’un événement qui met à l’honneur les acteurs économiques du territoire. L’objectif de cette soirée est de mettre en avant l’entrepreneuriat et l’excellence au cœur de notre département, par celles et ceux qui les font briller ici et ailleurs.

Cette 3ème édition, placée sous la présidence de Carole DELGA, présidente de la Région Occitanie/ Pyrénées-Méditerranée, animée par Laurent GAUZE, président de l’Agence de Développement Economique Pyrénées Méditerranée Invest (ADE-PMI), vice-président de la métropole Perpignan Méditerranée (PMM) – accueillis par le maire du Barcarès, Alain FERRAND – a eu lieu le 13 décembre dernier, à l’issue de l’inauguration du Village magique de Noël, dans le cadre féérique du paquebot des sables le Lydia, « LA Tour Eiffel » du littoral roussillonnais.
Pour cela, cette année, les organisateurs (l’ADE-PMI) avaient ciblé trois grandes thématiques : la culture, la gastronomie et le sport. Ces trois catégories représentent, selon Laurent GAUZE, « un enjeu majeur pour notre territoire mais également pour l‘exportation et l’image de notre territoire à l’international ».
Afin d’illustrer ces trois thématiques, tous les acteurs qui participent au rayonnement du territoire avaient été conviés à ce rendez-vous annuel afin qu’ils témoignent de leur expérience.

Au programme de la soirée : après l’accueil des participants (à 19h) et les discours d’ouverture des présidents et diverses personnalités (à 19h 30), des débats ont permis à chacun d’intervenir sur les thèmes retenus dans le cadre de cette 3ème édition très courue. Parmi ces intervenants : Carole DELGA et Laurent GAUZE bien sûr, également Bernard FOURCADE, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie des Pyrénées-Orientales (CCI’66), Robert BASSOLS, président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat des Pyrénées-Orientales, Michel GUALLAR, président de la Chambre d’Agriculture des Pyrénées-Orientales, Jean-Marc PUJOL, maire de Perpignan et président de PMM, Hermeline MALHERBE, présidente du Département…

Puis ont suivi de passionnants témoignages des Ambassadeurs :

-Culture
Alexander Vert – Ensemble Flashback
Florence Delseny Sobra – Alfmed
Gilles Desaphy – Grenat de Perpignan.
-Gastronomie
Olivier Bajard – Ecole Internationale de pâtisserie
Paul Pairet – Ultraviolet, vidéo
Philippe Bourrier – CIVR
Lionel Lavail – Domaine Cazes, vidéo.

-Sport
Aude Reygade – CNEA Font-Romeu
Cécile Hernandez – Athlète
Bernard Guasch – Dragons Catalans.

C’est devant un parterre de personnalités et un public venu en nombre, que s’est tenue, hier dimanche 6 janvier 2019 à 17h 30, Espace Catalogne, la traditionnelle cérémonie des Vœux à la population. Une chaleureuse soirée, où la convivialité était, comme à l’accoutumée, bien présente et partagée.

Carole DEL POSO, sénatrice-suppléante des P-O avec son époux Me Thierry DEL POSO, maire de Saint-Cyprien et président de la communauté de communes Sud-Roussillon, accueillis par le maire de Baixas, Gilles FOXONET.

Le sénateur Jean SOL, élu de la commune de Bompas.

Gilles FOXONET entouré de son conseil municipal et d’une partie des personnalités locales présentes.

Etaient notamment présents, Jean SOL, Sénateur des P-O et Carole Del POSO, suppléante, Robert VILA, maire de Saint-Estève et conseiller départemental, Nathalie PIQUE, conseillère départementale, Thierry Del POSO, maire de Saint-Cyprien, conseiller départemental et président de la Communauté de Communes Sud-Roussillon, Alain FERRAND, maire du Barcarès, Bruno VALIENTE, aire de Calce, Alain DARIO, maire de Peyrestortes, Alain GOT, maire de Saint-Laurent de la Salanque, Jean-Louis CHAMBON, maire de Canohès, conseiller départemental, Marc MEDINA, maire de Torreilles, président de l’Office de Tourisme Communautaire Perpignan-Méditerranée, et de Robert FERRE, représentant de la Chambre de Commerce et d’Industrie des P-O (La CCI’66).

Gilles FOXONET, maire de BAIXAS, a présenté avec conviction et verve, le bilan des actions menées au cours de l’année 2018, autour de la sécurité et de la solidarité, axes majeurs, mais également des nombreux travaux réalisés, ainsi que celles envisagées en 2019, en matière notamment de travaux à poursuivre ou à finaliser.

Un discours fédérateur, ponctué d’esprit, salué par toutes et tous, à l’image des brèves allocutions de Nathalie PIQUE puis de Jean SOL.

Avant de clôturer cette cérémonie par le traditionnel apéritif dînatoire, Gilles FOXONET a tenu à féliciter et à mettre à l’honneur le corps des sapeurs-pompiers de Baixas. A ce titre, une cérémonie toute spécifique, avec remise des insignes des nouveaux grades et médailles, sera prochainement organisée en présence d’Hermeline MALHERBE, présidente du Conseil Départemental et du SDIS des P.O.

Beaucoup, beaucoup de monde… Comme d’hab’ !